Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Conseil municipal

13/01/2010 16:52

Conseil municipal


Le Conseil municipal se réunira samedi 16 janvier 2010 à 10 h 00 dans les salons d'honneur de l'Hôtel de ville. Au programme : le réglement interne de fonctionnement du conseil municipal, des attributions de délégation, des questions budgétaires, une cession de terrain... Bref encore un triste spectacle en perspective. Au fait, pour le réglement interne du conseil municipal, la date limite n'était -elle pas fixée au 12 janvier ? Encore une illustration s'il en est de la compétence des cadres conservés par l'actuelle majorité municipale !

Le comité local



Commentaire de Caton l\'ancien (14/01/2010 07:59) :

4 délibérations dont deux dans l' urgence ! Ca s'améliore à la Mairie des nains !


Commentaire de Wh@t else? (14/01/2010 12:51) :

Quelqu'un a des nouvelles de "Faux témoin", "Bientôt", "Complot" ou autres pseudos de l'IP 81.66.6.109 ; ou plutôt ma préfèrence comme je le nomme Radio Corbeau. On ne peut menacer un individu et se soustraire aux conséquences. Qui exige ou menace, perd tout droit à la courtoisie car faire de la politique, ce n'est pas se contenter d'ouvrir le guichet des demandes et des supplications plus ou moins menaçantes. Je n'en ai point l'habitude mais pour une fois permettez moi cher Dlr de copier une citation de N.Sarkosy : " Casse toi Pauvre Con "


Commentaire de DLR1 canal historique (14/01/2010 13:08) :

Cher What else, je pense bien comprendre que cette brillante citation digne de trôner dans les livres d'histoire qu'affectionne les bo-bo bling - bling ne m'est pas adressée mais concernerait plutôt votre corbeau ! rassurez - moi sur ce sujet !


Commentaire de Wh@t else? (14/01/2010 13:26) :

Nullement, mais nous n'êtes pas sans savoir que l'essentiel est sans cesse menacé par l'insignifiant. Restons vigilant !


Commentaire de Anthéa (15/01/2010 14:55) :

Des funérailles trés émouvantes pour le Maire de Montigny cet aprés midi. J'ai eu la joie de vous y voir...





Hommage à Philippe Séguin

13/01/2010 16:39

Hommage à Philippe Séguin


François Morvan, délégué national de DLR à la santé et à la recherche, signe un émouvant hommage à Philippe Séguin, enterré ce mercredi 13 janvier dans le sud de la France.

PHILIPPE SEGUIN OU LA SOLITUDE EN POLITIQUE
Par François Morvan
Je n’ai pas connu Philippe Seguin, mais rencontré certaines et certains qui ont l’ont accompagné à des périodes diverses et qui tous ont été profondément marqués par ses qualités humaines, sa lucidité, son courage, la largeur de sa pensée. Jusque dans ses dernières fonctions à la cour des comptes, il aura démontré sa rigueur, son dévouement à l’intérêt général et sa fidélité à la France comme nation.
L’hommage unanime de l’oligarchie politico-médiatique est donc justice, mais c’est une canaillerie. Toutes celles et ceux qui s’exercent depuis trente ans à vendre la France par appartements à la globalisation financière et à ses serviteurs zélés de l’Union Européenne, quand bien même pour pleurnicher ensuite sur l’identité nationale qui se débine, n’ont pas raté l’occasion de présenter sa disparition comme celle du dernier des Mohicans. Leur soupirs se veulent ceux des regrets, mais on y entend l’écho du soulagement d’un système qui avait depuis bien longtemps organisé sa disparition politique, en le poussant à rentrer dans le rang, comme l’ont fait avec lui les autres leaders passés de “ l’autre politique” : Jean-Pierre Chevènement, Philippe De Villiers, Charles Pasqua. Car après avoir claqué les portes, porté le drapeau du “non” au traité de Maastricht, il aura cédé en 1995 aux sirènes de Jacques Chirac, qui avait pourtant démontré sur les sujets essentiels sa capacité sans limite à retourner ses vestes et qui le fera à nouveau à ses dépends en nommant à sa place Alain Juppé à Matignon.
Nous qui voulons continuer la tentative à laquelle Philippe Seguin avait apporté sa pierre sommes donc dans la même contradiction où il fut placé. Pour proposer une alternative à la politique et à la pensée uniques, dévouées au capitalisme financier, et dès lors qu’on réfute une logique révolutionnaire sans issue, peut-on à la fois accepter la nécessaire participation à un système politico-médiatique dominant et cadenassé, mais sans se laisser au bout du compte dévorer ?
Le système oligarchique du bipartisme d’aujourd’hui est en effet une machine à moudre les opposants. Il leur fait une place le temps où c’est nécessaire, et de cette façon il leur ouvre les portes de son monde où l’on perd, à proximité du pouvoir , le contact avec la réalité, où l’on vous enserre dans un réseau de relations et de représentations, d’intérêts et d’amicales pressions, tout convergeant vers une seule recommandation : faire la part des choses, ne pas casser la baraque, accepter les compromis nécessaires, ne pas gâcher l’avenir et en premier lieu le sien. Jusqu’au jour où ces conseils, qui n’ont rien en eux-mêmes de déraisonnables, vous poussent au faux-pas vécu par un peuple meurtri comme une trahison et l’abandon à un monde politique qui prétend vouloir le bien commun mais défend surtout le sien.
Avec Debout La République et Nicolas Dupont-Aignan, nous avons choisi la voie difficile et escarpée pour surmonter cette redoutable épreuve. Charles De Gaulle en a eu le tempérament nécessaire en rompant les ponts quand il le fallait, particulièrement en juin 1940 où il a choisi le risque d’une retraite définitive à Colombey plutôt que l’enlisement. Mais il avait surtout cette largeur de vue, cette constance, cette patience, cette cohérence qui ont créé sur la durée entre lui et le peuple la confiance qui est la clef de tout.
Voilà exactement ce qu’attendent les Françaises et les Français : une force politique qui leur redonne confiance. Elle ne peut se gagner en un jour, ni en quelques mois, mais se chiffre en années. Voilà pourquoi nous existons, voilà pourquoi portés par un programme solide et une volonté intérieure, nous voulons réussir ce que Philippe Seguin a tenté.





La conjuration des imbeciles

13/01/2010 12:18

La conjuration des imbeciles


« La Sottise ! » disait Flaubert.
Qu’aurait pensé l’imprécateur de Bouvard et Pécuchet du spectacle attendrissant qu’offrent aujourd’hui les duettistes de la discrimination positive, Richard Descoings et Alain Minc ? Ou faut-il dire le trio, tant les idées — le mot est peut-être un peu exagéré — qu’ils défendent semblent l’écho des propositions de Yazid Sabeg, le commissaire à la diversité, à l’égalité des chances et à l’auto-satisfaction.
J’ai eu la chance inouïe d’assister cette année, au lycée Thiers à Marseille, à une visite de Monsieur Sabeg dans ma classe de SPE-IEP (dont je parlais dans une précédente Note). Eh bien, ces élèves qui arrivent tous de ZEP, et sont presque tous « issus de la diversité » pour parler le langage à la mode, se sont sentis — ils l’ont dit et écrit — animaux de zoo visités par quelque touriste nonchalant, soucieux de parler pour ne rien dire et de ne rien écouter. Yazid Sabeg est arrivé entouré d’une cour de dignitaires empressés. Il est reparti, pressé, en homme important qu’il est, au bout de dix minutes, laissant derrière lui un sérieux sentiment d’inachevé et de stupéfaction. Mais le grand petit homme, comme on dit dans Little Big Man, avait certainement tout compris en deux coups d’œil…
D’ailleurs, il avait compris avant même d’entendre. Il a sur la discrimination positive des idées bien arrêtées — les quotas que revendique aujourd’hui Richard Descoings, futur ministre de l’Education, si j’en crois la loi de Murphy et le Principe de Peter, c’est lui. Et de suggérer que l’on dresse un état précis des « communautés » afin de distribuer dorénavant les postes non en fonction du talent, mais de l’appartenance ethnique — si tant est que le terme ait un sens.
Tiens, la dernière fois qu’on a joué à ça, c’était sous Vichy.
 
Richard Descoings, donc, s’étonne avec ironie (1) de l’opposition de la conférence des Grandes Ecoles à sa proposition de quotas. Les bonnes œuvres ne suffisent plus au fringant directeur de Sciences-Pô : c’est que dans la société du spectacle, toute surenchère en appelle forcément une autre, si l’on veut rester visible. Ce furent d’abord quelques spécimens pêchés dans des banlieues et importés Rue Saint-Guillaume sous l’œil intéressé des caméras. Puis des quotas — 30% de boursiers, cela sonne sérieux. Puis la suggestion de Valérie Pécresse, que j’ai connue mieux inspirée, que l’on transforme les oraux, afin de moins évaluer sur des savoirs, et davantage sur des savoir-être : le livret de compétences qui doit régler le futur Brevet des collèges, si les profs, fort récalcitrants, acceptent de le remplir, s’invite dans les grandes écoles.
Comment s’étonner que les responsables desdites Grandes Ecoles s’émeuvent de ce discours calibré pour plaire… pour plaire à qui, d’ailleurs ? Le Monde ouvre ses colonnes aux chantres de l’affirmative action (2), et les hauts responsables du Figaro ne leur sont pas hostiles, malgré ce qu’en disent avec talent tel ou tel de leurs collaborateurs (3). Touchante unanimité. Les uns et les autres se sont-ils demandé ce qu’en pensent leurs lecteurs ? Ce qu’en pensent les enseignants ? Ce qu’en pensent même les jeunes — y compris ceux que cela semble concerner (4) ? Croient-ils vraiment que tant de parents ou grands-parents d’élèves veuillent voir passer devant leurs enfants ou leurs petits-enfants des gosses qui se sont donné la peine de naître… de l’autre côté du périphérique ?
J’ai souvent expliqué que le titre de la Fabrique du crétin ne visait pas vraiment les élèves, victimes d’un système qui marche sur la tête (comme le prouve jusqu’à la nausée cette Autopsie du Mammouth (5) qui sort cette semaine). Non : les crétins en chef, ce sont les instances dirigeantes, cette galaxie de gredins grenelliens, d’apparatchiks survivants de tous les régimes, de pédagogues fous et autres fournisseurs de débâcle. Cela fait des années qu’une certaine Droite veut briser l’Education nationale, cela fait des années qu’une certaine Gauche fait chorus. Le collège unique, contre lequel s’insurge aujourd’hui Luc Ferry (6), qui l’a pourtant laissé prospérer lorsqu’il était ministre, est l’exemple le plus frappant de cette massification uniformisante dont on espérait une école égalitaire et qui, à force d’égalitarisme, a eu l’effet paradoxal, mais logique, non seulement de ne pas augmenter le nombre d’enfants issus du peuple dans les Grandes Ecoles, mais, souvent, de le diminuer notablement. D’où l’idée loufoque, mais logique pour ces gens-là, de les réinsérer aujourd’hui — par passe-passe, par passe-droit, au lieu de leur donner, en amont, l’aliment intellectuel qu’ils pourraient réclamer. « Pourquoi ne nous l’a-t-on pas appris avant ? » demandent les élèves des classes prépas aux classes prépas dont je parlais dernièrement. Bonne question à laquelle on n’apporte, encore une fois, que de mauvaises réponses.
Parce que si l’instruction — la meilleure, la plus sophistiquée possible — est un droit, la réussite, elle, ne l’est pas : c’est peu ou prou comme le droit aux soins, qui n’est pas le droit à la santé. Les élites ne se décrètent pas, tant qu’on leur donne l’occasion d’émerger.
Mais voilà : permettons-nous encore aux enfants, aux adolescents, d’aller au plus haut de leurs compétences ?
Poser la question, bien sûr, c’est y répondre. La politique éducative, tant administrative que pédagogique, n’a jamais eu d’autre but, depuis vingt-cinq ou trente ans, que l’écrasement des différences — ce qui n’a jamais fait de bien aux plus fragiles, et découragé ceux qui auraient pu lever la tête. Si les enfants les plus démunis, culturellement parlant, ont besoin de quelque chose, c’est d’une pédagogie qui leur transmette des connaissances, inlassablement, et, ce faisant, leur donne de l’ambition.
Et on ne donne d’ambition qu’en montant la barre, pas en décrétant, comme le fit jadis Jack Lang, que le zéro est hors-la-loi : c’est ne rien comprendre à la relation maître-élève que de penser que les uns ne peuvent avoir d’autorité que par la grâce du bâton, et que les autres ne fonctionnent qu’à la carotte.
Restait à la Bêtise un dernier bastion à conquérir, les classes préparatoires. Une ultime forteresse à raser, les grandes écoles. Nous y sommes presque. On en reviendra d’ici peu à un système d’« entretiens » faussés et de cooptation vraie, un pseudo « mérite » qui ressemblera fichtrement au piston. Seuls des concours anonymes, de haut niveau, où n’apparaissent ni la couleur de la peau, ni les (in)croyances religieuses, peuvent assurer le renouvellement des cadres et l’éclosion des talents — la vie d’une République. Les propositions d’aujourd’hui, outre leur inconséquence pédagogique, marquent la fin d’une certaine… identité française. Quand le communautarisme frappe à la porte et que les démagogues l’entrouvrent, nous pouvons tout redouter — y compris le Quatrième Reich.
 
Jean-Paul Brighelli
 
PS. Que cette politique de quotas soit absurde, nous sommes quelques-uns à le dire. Même Luc Ferry, décidément ultra-lucide depuis qu'il n'est plus ministre, s'y est mis ce matin : http://www.france-info.com/chroniques-l-invite-du-matin-2...
 
 
Notes :
On m’excusera d’utiliser l’anglais pour désigner ces grandes intelligences. Richard Descoings vient de se voir décerner le Prix de la carpette anglaise pour son action en… défaveur du français : http://www.langue-francaise.org/Articles_Dossiers/Carpette_historique.php
(4) Le Monde, dans une grande crise d'honnêteté (on ne l'y reprendra pas), a demandé leur avis aux jeunes gens concernés. Et c'est très éclairant : des quotas et des passe-droits, ils n'en veulent pas (http://www.lemonde.fr/societe/article_interactif/2010/01/06/quotas-les-eleves-boursiers-ne-veulent-pas-d-un-passe-droit_1288251_3224.html#ens_id)
(5) De Claire Mazeron. Sortie le 14 janvier. Courez le commander !
(6) Dans le Figaro du 7 janvier.





Malaise social au sein du personnel municipal

13/01/2010 07:48

Malaise social au sein du personnel municipal


Le 15 décembre dernier, nous attirions l’attention sur le fait que la CGT exprimait par voie de tract, le malaise du personnel municipal. Cet épisode illustrait l’alerte que nous avions alors lancée les 15 octobre (surveillance insupportable) et le 10 septembre (déception du personnel) concernant les états d’âmes du personnel. L’article du jour de la Voix du Nord vient hélas une nouvelle fois démontrer que nous avions vu juste. Cette fois, c’est au tour de l’UNSA, syndicat siégeant au Comité Technique Paritaire, de s’exprimer conjointement avec la CGT. Il semblerait également que la CFTC soit en passe de rejoindre ce mouvement de grogne face à une gestion des ressources humaines qu’ils jugent calamiteuse. Outre le boycott des vœux au personnel qui se déroulerait le mercredi 27 janvier, il se murmure qu’une action commune de débrayage pourrait avoir lieu. Décidément, la nouvelle équipe municipale, quoiqu’elle entreprenne, réussit toujours qu’une seule chose : faire l’unanimité contre elle !  

 

Le comité local 



Commentaire de Caton l\'ancien (13/01/2010 08:26) :

Quand Eugène Binaisse parle de l'effort de chacun et de tous, y inclut-il les cadres et les élus ?





La diversité contre l'égalité

13/01/2010 06:00

La diversité contre l'égalité


LA DIVERSITE CONTRE L’EGALITE
De Walter Benn Michaels  

 

Edition : raison d’agir 

Edité le 19/02/2009 

155 page 

ISBN : 978-2-919107-45-9 

EAN : 9782912107459

Résumé : 

À la télévision comme dans les entreprises, au Parti socialiste comme à l'Élysée, à Sciences Po comme à l'armée résonne un nouveau mot d'ordre : Vive la diversité ! Avec l'élection de Barack Obama, le bruissement s'est changé en clameur. Désormais, chacun devrait se mobiliser pour que les femmes et les « minorités visibles » occupent la place qui leur revient au sein des élites. Mais une société dont les classes dirigeantes reflètent la diversité a-t-elle vraiment progressé sur le chemin de la justice sociale ?
À cette question jamais posée, Walter Benn Michaels répond par la négative. La promotion incessante de la diversité et la célébration des « identités culturelles » permettent au mieux, selon lui, de diversifier la couleur de peau et le sexe des maîtres. Sans remettre en cause la domination qui traverse toutes les autres : celle des riches sur les pauvres.
À l'aide d'exemples tirés de la littérature, de l'histoire et de l'actualité, ce livre montre comment la question sociale se trouve désamorcée lorsqu'elle est reformulée en termes ethnico-culturels. Plus fondamentalement, il s'interroge sur l'objectif d'une politique de gauche : s'agit-il de répartir les inégalités sans discrimination d'origine et de sexe, ou de les supprimer ? 

L’auteur : 

Walter Benn Michaels est professeur de littérature à l'université de l'Illinois à Chicago. 






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